Le quotidien Ouest-France relate, dans un article publié le samedi 14 octobre 2017, la visite effectuée par les élus de la Communauté de Communes du Pays bigouden Sud (CCPBS) sur le site du concasseur. Une visite destinée à appréhender l'environnement, l'histoire et le fonctionnement de cet ensemble, mais également à découvrir l'intérieur des galeries situées sous le grand mur casemate, galeries qui, pour cette occasion avaient été ré-ouvertes, nettoyées et éclairées. Les élus de la CCPBS devraient ensuite s'engager dans une réflexion sur le classement de l'ensemble de ces vestiges en "site d'intéret communautaire".
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La Préfecture maritime de l'Atlantique a réalisé le déminage d'engins explosifs datant de la Seconde Guerre mondiale sur le littoral de la commune de Tréguennec au niveau de la plage de Kermabec, entre le mardi 6 juin 8h et le vendredi 9 juin 12h
La navigation, le mouillage et l'échouage de tout navire ou engin immatriculé, ainsi que toute activité nautique ou subaquatique ont été interdites dans la zone réglementée. Le quotidien le télégramme souligne également que la plage de Kermabec ainsi que l'usine de concassage de galets ont été strictement interdites au public..."
Voir l'arrêté de la préfectue maritime (PDF)
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Nouveau succès, samedi après-midi, pour l’association « Le bruit des galets », qui organisait, à la salle polyvalente, une animation sur le thème du concasseur de Tréguennec. "Le télégramme" Mercredi 1er juilllet 2015 : En effet, la salle était comble et les chaises disponibles installées étaient en nombre insuffisant. C’est assis sur les marches de l’escalier qui donne accès à l’étage, voire...
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Découvert par un promeneur ce jeudi matin sur une plage de Tréguennec, un obus de 40 mm a été pétardé. La munition reposait auprès d'un blockhaus. Immédiatement prévenu, le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de Corsen a sollicité le concours du groupement des plongeurs-démineurs de l’Atlantique. L’équipe d’alerte, composée de quatre marins plongeurs-démineurs et d’un marin infirmier, s’est rendue sur place en fin de matinée. La munition, un obus de 40mm, a été détruite sur place, à l’intérieur du blockhaus, pour limiter la propagation d’éclats métalliques. Pendant l’opération de contre-minage, la sécurité du site a été assurée par la brigade territoriale de proximité de gendarmerie de Pont-l’Abbé. On se rappelle l'épouvantable drame survenu à Groix à la fin de l'été : un jeune est mort à la suite de l'explosion d'un obus situé sous un feu de camp allumé sur une plage. Ce drame rappelait malheureusement que des milliers de munitions dorment encore sur le littoral breton.
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