Extraits de livres ou de documents. Vidéos et articles de presse. Cette section du site regroupe les interviews et les témoins de cette époque.
Les Entêtes ou cachets des entreprises sont divers et variés dans les années 40 : Rarement en couleurs, ces premières marques extérieures de richesses, ces nouvelles publicités sont souvent très chargées en décorations et dessins de toutes sortes, en arabesques et fioritures remplissant àa; outrance l'espace qui leur est alloué sur les documents. En même temps, les cartes des artisans locaux restent sobres, très dénudées et ne racontent que l'essentiel : Nom, métiers, adresse et certaines fois numéro de téléphone. Parfois quelques mots supplémentaires sur le métier exercé.
Voici une galerie classée par ordre alphabétique. Principalement des artisans locaux, certains établissements existent encore aujourd'hui, mais aussi les entêtes des usines et de grandes et petites entreprises. Vous noterez que dans les années 44-50 les numéros de téléphone n'avaient que 2 voire 3 chiffres et que certains métiers ont totalement disparus : Ferblanterie, maréchalerie, fumisterie, charretier etc.
Afin de dissiper et de prévenir tout malentendus, il ne s'agit bien évidemment pas d'entreprises ou de personnes ayant collaborées avec l'Occupant. Ces entêtes font parties de courriers adressés aux Ponts et chaussées ou au Ministère de la Reconstruction à partir de la Libération.
Entête des entreprises de A jusqu'à C
Le site de Tréguennec dans le Sud-Finistère est réputé pour ses galets. Durant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands ne s’y trompent pas et décident la construction d’une usine de concassage derrière le cordon dunaire de la baie d’Audierne, long de 10 km allant de la pointe de La Torche à Penhors, au lieu-dit Prat ar Hastel. Les nazis y installent en 1942, le camp Todt. Source le Télégramme 23 février 2014
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